Le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a présidé, mardi dernier, une réunion d’évaluation des recherches archéologiques menées par les centres de recherche nationaux et régionaux du secteur.
Dans le cadre du suivi continu des activités de recherche scientifique dans le domaine de l’archéologie et du patrimoine culturel, le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a dirigé une séance de travail consacrée à l’évaluation des résultats des recherches archéologiques menées à la fois par le Centre national de recherche en préhistoire, anthropologie et histoire (CNRPAH) et le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Afrique (Crespaf), un centre du patrimoine de catégorie 2 de l’Unesco pour le patrimoine culturel immatériel en Afrique, en présence d’experts, de responsables des deux institutions et de responsables ministériels.
Au cours de la réunion, les résultats des recherches sur le terrain et scientifiques menées dans les différentes wilayas du pays ont été examinés, en plus de présenter les activités liées à la préservation du patrimoine culturel immatériel aux niveaux national et africain, à la lumière de l’engagement de l’Algérie à jouer son rôle de pionnier dans ce domaine.
Au cours de cette réunion, les résultats des recherches sur le terrain et scientifiques menées dans les différentes wilayas du pays ont été examinés, en plus de présenter les activités liées à la préservation du patrimoine culturel immatériel au niveau national et africain, à la lumière de l’engagement de l’Algérie à jouer son rôle de pionnier dans ce domaine.
Dans son allocution, le ministre a souligné le rôle stratégique de ces deux centres dans la protection et la valorisation du patrimoine culturel algérien et africain, appelant à l’établissement d’une feuille de route claire qui valorise la recherche archéologique, et l’implication des chercheurs et archéologues dans divers projets de recherche et opérations de fouilles, tout en intensifiant les mécanismes de coopération entre les différentes parties prenantes aux niveaux national et international, en utilisant des technologies de pointe pour enrichir le patrimoine archéologique national. Il a souligné la nécessité de publier des rapports de recherche reflétant la réalité des réalisations et des défis, afin d’assurer une orientation efficace des efforts et une évaluation des résultats de la recherche.
Il est à noter que le ministère de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a accordé cette année 41 licences ministérielles de recherche archéologique à des équipes de recherche nationales et internationales dans le domaine de l’archéologie, reflétant l’engagement de l’Algérie à soutenir la recherche scientifique et renforcer la coopération internationale dans l’étude du patrimoine culturel. Les travaux de cette réunion s’inscrivent dans le cadre de la nouvelle stratégie du ministère, qui vise à promouvoir la recherche archéologique et à renforcer sa position en tant qu’outil central dans la préservation de la mémoire nationale et la sauvegarde de l’identité culturelle, conformément aux priorités de la politique culturelle nationale.
Article du journal El Watan : 31/07/2025 mis à jour: 18:20 R. C.
